L'hiver s'est installé dans la capitale russe, qui accueille depuis hier matin les invités du Club Managers. Sous la neige, à l'ombre du Kremlin, les autocaristes, les partenaires de l'opération et toute l'équipe de Bus & Car planchent pendant trois jours sur quelques-uns des sujets de préoccupation du secteur.
Pour la douzième édition du Club Managers, Bus & Car et tous ses partenaires ont donc décidé de transporter cet événement au cœur de Moscou, capitale de toutes les Russies.
Ville historique par excellence, mais aussi symbole du modernisme galopant de ce pays continent, Moscou est un peu à l’image du transport routier de voyageurs français. Installé sur un socle de tradition et de savoir-faire qui font sa renommée, ce métier est aujourd’hui au centre de nombreux développements possibles en matière de mobilité. Une situation et des enjeux que la rédaction de Bus & Car se propose d’étudier avec ses invités durant les trois jours de ce Club autour de trois débats.
Quel autocar pour demain ?
Incontournable, indispensable, essentiel, tels sont quelques-uns des qualificatifs appliqués à ce mode dans le contexte actuel de mutation profonde de la mobilité. Certes. Mais quelles sont vraiment les caractéristiques attendues pour ce véhicule renouvelé ? Des réponses aujourd’hui en cours de définition au sein de plusieurs cercles d’études.
Le moins de neuf places, nouveau maillon de la mobilité
L’utilisation des véhicules de moins de neuf places se généralise dans les transports publics. Quelle place tiennent-ils aujourd’hui, quelle sera-t-elle demain ? Autant de questions que doivent se poser les chefs d’entreprises du transport routier de voyageurs. Mieux, ce débat tentera de définir comment, les autocaristes traditionnels peuvent jouer la carte du moins de neuf places pour développer leurs entreprises et répondre aux nouvelles demandes des autorités organisatrices.