L’entreprise dauphinoise Faure innove en proposant, pour les régions Rhône-Alpes et Ile-de-France, deux véhicules au toit rétractable, pour des groupes de taille modeste et pour des parcours limités.
L’entreprise dauphinoise Faure innove en proposant, pour les régions Rhône-Alpes et Ile-de-France, deux véhicules au toit rétractable, pour des groupes de taille modeste et pour des parcours limités. Les deux véhicules, de châssis Iveco, au label Atomic Cabriolet, carrossés en Espagne et commercialisés par Omnibus Trading, seront positionnés l’un en Rhône-Alpes, l’autre en Ile-de-France : "ils s’adressent à de petits groupes pour des transferts ou des excursions de faible distance. Ceux-ci profiteront de l’accessibilité et de la maniabilité supérieures de ce type de véhicule par rapport à des autocars classiques, des qualités particulièrement appréciables en milieu urbain ou en terrain escarpé et avec un confort à ciel ouvert", précise Antoine Cataldo, directeur général du Groupe Faure. Comme pour d’autres véhicules, la rétraction du toit s’effectue une fois le véhicule arrêté. De plus, ces deux autocars sont équipés d’un système d’écoute individuelle multi-langues à la place. Pour ce type de tourisme réceptif, ces deux autocars offrent une capacité de 32 sièges et surtout la particularité d’avoir un toit vitré et rétractable. Ils s’adressent autant à des transferts de groupe de tourisme d’affaires, depuis les aéroports vers les hôtels ou les centres de réunion, qu’à une clientèle de tourisme de loisirs. C’est ainsi que l’un des premiers marchés, dans les terres historiques du Groupe Faure, consiste en un accord passé avec l’office du tourisme de Vienne (38) pour des visites de "savoir-faire", auprès d’entreprises aussi variées que l’agroalimentaire, l’œnologie, les événements culturels… Pour le Groupe Faure, qui vient de passer le cap des 1000 cartes grises, l’essentiel dans les cars de tourisme, quel peut être l’avenir de ce type de véhicules ? "Selon l’accueil que lui réservera la clientèle, nous déciderons éventuellement d’une autre commande de ce type de véhicules", répond Antoine Cataldo.