Pour la prochaine saison hivernale, Transavia, la compagnie low cost du groupe Air France/KLM, ajoutera Tel-Aviv au départ de Lyon-Saint Exupéry, et pérennisera ses relations à destination de Porto et Funchal. En attendant mieux !
Pour la prochaine saison hivernale, Transavia, la compagnie low cost du groupe Air France/KLM, ajoutera Tel-Aviv au départ de Lyon-Saint Exupéry, et pérennisera ses relations à destination de Porto et Funchal. En attendant mieux ! Avec 120 000 passagers, le trafic Transavia de l’année 2013 a connu à l'aéroport lyonnais une croissance du nombre de passagers de 130 %, par rapport à l’année précédente. Une évolution sensible à comparer avec celle de 30 % enregistrée au niveau national, mais insuffisante pour modifier la hiérarchie qui place les aéroports de Paris-Orly et de Nantes devant celui de Saint Exupéry. Une croissance qui s’appuie au niveau national, sur l’arrivée de nouveaux appareils, des Boeing 737-800 pour l’essentiel : trois de plus, avec un total de 11, l’année dernière, et cinq de plus prévus pour cette année. Ce qui permet à Hervé Kozar, directeur général adjoint commercial de Transavia France, de tabler sur "un trafic à hauteur de 3,3 millions de passagers, en 2014, et l’atteinte de l’équilibre financier, l’année prochaine".
Equilibre entre groupes et individuels
A compter du 28 octobre prochain, Transavia desservira donc une fois par semaine, les dimanches, Tel-Aviv, au départ de Lyon-Saint Exupéry, pour une desserte annuelle. De même, les relations bi-hebdomadaires, des jeudis et dimanches à destination de Porto et Funchal, seront pérennisées toute l’année également, "avec des tarifs attractifs, grâce à l’un de nos avions qui sera basé ici, également l’hiver", ajoute Hervé Kozar. Le modèle Transavia élaboré initialement autour des trafics groupes est en train d’évoluer : "aujourd’hui, nous sommes à peu près à l’équilibre entre groupes et individuels, mais il est probable que dans l’avenir, la croissance s’effectue davantage grâce aux particuliers", explique Hervé Kozar, même s’il a conscience d’une notoriété assez faible de la compagnie.